« Les start-up de l’EPFL ont levé plus de 220 millions de francs de capitaux privés en 2014, soit deux fois plus que l’année précédente. Depuis 2010, des privés ont ainsi investi environ un demi-milliard de francs, pariant sur le potentiel de ces jeunes entreprises. » Lire la suite sur La Tribune de Genève.
Il est difficile de mettre en rapport ces chiffres avec des statistiques nationales françaises qui à priori n’existent pas, et pour lesquelles ceux qui se lancent dans cet exercice de compilation n’ont pas forcément la même définition. La société frenchfunding annonce en fonction de son propre barème, 140 millions d’euros pour les mois de septembre, octobre et novembre. Il ne faut pas extrapoler ce chiffre sur les 12 mois de l’année, car il y a de fortes variations d’un mois sur l’autre.
Par ailleurs un autre site MyFrenchStartup donne une vision plus globale de levée de fonds expliquée par le schéma suivant:
Mais tout ceci laisse à penser que les montants deviennent significatifs pour l’EPFL, et que de tels montants à l’échelle de l’Europe sont une belle performance. Ils confortent cette notion de geyser d’innovations technologiques dont peut se parer à juste titre l’école. Un des risques futurs sera peut être que si la croissance du montant est importante, il faudra veiller à ce qu’il ne soit pas réparti, étalé, sur un trop grand nombre de deals. La taille du projet compte aussi.
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