L’année 2017 qui commence, s’affiche avec un froid plutôt conséquent sur nos contrées tempérées, mais s’il y a bien un territoire qui voit une température à deux chiffres, c’est celui des Fintech. De gros événements se précisent dans le calendrier, comme évoqué dans le post Fintech précédent. Il ne faut pas oublier ceux de taille plus modeste, mais qui peuvent donner une vision plus concrète et sont facilement accessible comme le Swiss Fintech Convention, qui aura lieu à Genève le 2 fèvrier 2017.
Le programme est à une échelle humaine, l’événement dure une journée, et n’élude pas les réflexions qui dans ce domaine vont au delà de la technique ; la relation avec l’humain.
Digital, fintech et humanité
Plusieurs conférences auront lieu sur ce sujet, animées par Aline Isoz, nominée en 2015 pour le prix de la « Femme Digitale de l’année ». Ainsi elle vous apportera quelques convictions à la question « Peut-on être Suisse et digital ? « . Moi, je dis oui, mais ce n’est que mon point de vue. Alors que les entreprises intègrent de plus en plus la transformation digitale dans sa dimension culturelle et non plus uniquement technologique, quels sont les freins et les avantages pour la Suisse à l’ère des GAFAM et autres Pure Players? Sous l’angle d’exemples économiques ou environnementaux, Aline Isoz invite à réfléchir sur les fonctionnements “helvétiques”, et leurs incidences.
Vous aurez aussi une conférence pour savoir dans cet univers Fintech, concilier le digital et l’humain, et comment repenser l’organisation de l’activité financière.
Le programme et les billets sont disponibles sur le site TSFC dès le 6 janvier 2017.
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